Réveil de l’Eglise Gnostique Chaote ! Tau Jean Huss et Tau Simon Pierre II.

A Toutes nos Sœurs & à Tous nos Frères, Salut & Fraternité,

En ce jour d’élection de l’anti-pape Benoît XVI et par l’étude des Saintes Écritures qui nous enseignent les choses suivantes :

1- Quant à la hiérarchie de la Communauté :

Dans le christianisme originel il n’y avait que des apôtres, des prophètes, des évangélistes, des pasteurs et des docteurs (1 Cor. 12.28 ; Eph. 4.11 et Didaché). Ces différents services avaient été établis par Dieu dans Son Eglise. En ce temps-là on ne savait rien d’un Pape, de patriarches, de cardinaux, d’archevêques, de moines ou de nonnes. Toutes ces choses qui dans le monde chrétien, et dans l’Eglise gnostique même, sont considérées aujourd’hui comme allant de soi n’existaient pas au sein de l’Eglise primitive. Selon la Didaché, texte apocryphe de l’Eglise primitive, il n’existe en fait que deux classes : la classe apostolique composée des apôtres et des prophètes et la classe des fonctionnaires composée des diacres, presbytres et évêques. Les seuls officiants de l’Eglise primitives étaient : « ancien », « président » ou « évêque ». Dans l’épître aux Philippiens, Paul salue d’ailleurs les évêques et diacres. Ces deux ministères faisaient donc partie de la communauté locale. Dans 1 Tim. 3-2, on lit que la condition pour exercer cette tâche était qu’un tel homme soit marié.

Luther à la diète de Worms, le 18 avril 1521 : « La raison pour laquelle je ne crois pas davantage au Pape qu’aux Conciles vient du fait qu’ils se sont souvent trompés et se sont enchevêtrés dans leurs propres contradictions. Si je ne suis pas convaincu par des témoignages des Ecritures et par des arguments bien clairs, je le suis alors par les témoignages des Ecritures cités par moi et qui sont renfermés dans la Parole de Dieu. Je ne peux pas me rétracter, et ne le veux pas non plus, car agir contre la conscience n’est pas sûr et n’est pas salutaire. Que Dieu me soit en aide. Amen ! ».

Celui qui lit avec attention Matthieu 16.18 constatera que le Seigneur n’a pas dit : « Tu es Pierre et sur toi je bâtirai mon Église », mais bien « Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église ». Juste quelques versets après, le Seigneur devait dire au même Pierre : « Arrière de moi, Satan ! tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes » (Mat. 16.23).

Les Saintes Écritures ne parlent pas davantage d’une succession apostolique ni d’un évêque chef des autres évêques. Lorsque Léon le Grand fut élu évêque de Rome en 440, il prétendit alors que l’évêque romain avait la prééminence sur tous les autres en se référant à Matthieu 16.16. Il proclama solennellement être le successeur de Pierre. Ceci est un mensonge historique et une perversion des Écritures. Ce ne sera qu’en 445 que l’empereur Valentinien confirmera la suprématie religieuse de l’évêque de Rome sur l’Eglise. Le docteur de l’Eglise Augustin d’Hippone (354-430) favorisa cette pensée dans son ouvrage “L’Etat de Dieu”. La suprématie du pape, fausse à nos yeux, est le fruit d’une alliance politique et religieuse, fait des hommes et contraire à l’esprit de la lettre.

Après Sa résurrection le Seigneur dit à Ses disciples présents dans la chambre haute : « La paix soit avec vous ! Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie ». De plus il est encore dit : « Après ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit : Recevez le Saint-Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus » (Jean 20.21-23).

Le jour de Pentecôte le Saint-Esprit descendit avec un bruit puissant accompagné de feu divin qui enflamma la langue de tous ceux qui étaient présents. Ils furent alors purifiés par le feu Divin et ils purent ainsi exprimer le Verbe dans la puissance du Saint-Esprit. Ce que Pierre a annoncé lors de sa première prédication sera répété par chacun de ceux que le Seigneur a appelés et remplis du Saint-Esprit jusqu’à la dernière prédication : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés » (Actes 2.38). Au sujet de ceux que le Seigneur a Lui-même envoyés, Il dit : « Celui qui vous écoute m’écoute, et celui qui vous rejette me rejette… » (Luc 10.16).

Les apôtres, successeurs du Christ, instituèrent les évêques comme aide administrative. Ce ne sera que par la suite qu’ils recevront également l’Esprit Saint avec la mission de le transmettre.

2- Quant à la Foi :

« Toute parole de Dieu est éprouvée… N’ajoute rien à ses paroles, de peur qu’il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur » (Prov. 30.5,6).

« Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescrits et vous n’en retrancherez rien » (Deut. 4.2).

« Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de vie, et de la ville sainte, décrits dans ce livre » (Apoc. 22.18,19).

3- Quant aux rites :

La Fraction du Pain :

On sait que c’est le rite qui consiste à rompre le pain eucharistique, avant de communier. Mais, en connaît-on l’origine ?

Lors de la dernière Cène, Jésus, se conformant à la coutume de son peuple, bénit le pain, le rompit et le donna à ses apôtres (Matthieu 26, 26 ; Marc 14,22, Luc 22,19). Ce rite fut soigneusement conservé par la primitive Église ; ce fut même le premier nom de la messe : “fractio panis”, la fraction du pain.

Les apôtres l’employaient suivant les préceptes de Jésus et, dans les Actes des Apôtres est utilisée l’expression “rompre le pain” pour signifier “célébrer l’eucharistie” (Actes 2, 42, 46 ; 20, 7).

L’un des tout premiers textes Chrétiens, la Didaché, nomme le pain eucharistique “la chose rompue”.

« La coupe que nous bénissons est communion au sang du Christ, le pain que nous rompons est communion au corps du Christ » (1 Co 10/16).

« Qui mange ma chair et boit mon sang, dit Jésus, demeure en moi et moi en lui, il a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour » (Jn 6/51-58).

Le Baptême :

Selon les textes, le baptême se donne simplement aux enfants ou aux adultes, sans huile de consécration, exorcisme etc… Lire à ce sujet la Didaché.

En conséquence, nous Tau Jean Huss & Tau Simon Pierre II, évêques-apôtres de l’Eon-Christ, considérant toutes les hiérarchies humaines et tous les dogmes qui ne dérivent point directement des Ecrits primitifs comme inutiles, voyant l’état d’indigence et la fascination pour la pompe romaine de l’Eglise Gnostique et considérant l’urgent besoin de revenir à une mystique vraie, décidons de rendre vie à l’Eglise Gnostique Chaote, ou Communauté primitive, en prenant les mesures suivantes :

1- Institution des trois cérémonies originelles : le baptême, la fraction du pain et la transmission de l’Esprit Saint.

Le baptême : Cette cérémonie sera simple. Le baptême sera donné par immersion dans l’eau, soit froide soit chaude soit tempérée. Si il n’y a pas de quantité suffisante, une simple aspersion suffit. Le baptême est donné exclusivement “Au Nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint”. Le baptême fait entrer définitivement l’homme ou la femme au sein de la Communauté. Nulle confirmation n’est nécessaire. Le baptême ne lave d’aucun péché puisqu’aucun péché originel n’existe à nos yeux.

La Fraction du Pain : elle se fera selon l’usage par la bénédiction préalable du pain et du vin et leur distribution, sans autre forme cérémonielle, lors d’agapes fraternelles le dimanche après récitation du Notre Père.

2- Institution d’une seule prière liturgique qui est le Notre Père. Toute autre prière étant bien entendu autorisée selon les besoins particuliers et individuels.

NOTRE PERE

Notre Père qui êtes dans la profondeur des Eons,

Que Votre Saint Logos et Christ soit compris et adoré dans tout l’Univers ;

Que le règne de Votre Saint-Esprit nous arrive,

Que Votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Donnez-nous aujourd’hui notre nourriture spirituelle, la force et le courage de gagner notre pain du corps.

Soutenez-nous dans nos faiblesses afin que nous ne soyons pas entraînés par nos passions et délivrez-nous des mirages trompeurs de l’Archonte.

Car, nous n’avons d’autre roi que votre fils bien-aimé l’Eon-Christ notre Sauveur à qui appartiennent le règne, le triomphe et la gloire dans tous les siècles des siècles.

Amen.

3- Abrogation des ordres mineurs et majeurs qui sont fondus en un seul ordre, celui d’évêque gnostique chaote. Jugeant inutile et perverse la multiplication des ordres et désirant revenir à la simplicité des Evangiles primitifs, nous instituons donc l’épiscopat comme seul et unique médium de l’Esprit Saint avec toutes les charges apostoliques qui s’y rapportent : l’exorcisme, les soins aux malades, la propagation de la Gnose et de la Chaos, l’enseignement et la garde des Saintes Ecritures Gnostiques.

4- Tout homme et toute femme de désir peut se voir conférer la charge épiscopale. Le but étant de transmettre l’Esprit Saint à tous les enfants du Plérome perdus en ce monde, nous entendons, nous les dépositaires de la succession de l’Esprit-Saint, ne jamais refuser la consécration à qui que ce soit.

Notre Profession de Foi sera la suivante :

Je crois en un Seigneur Secret et Ineffable ; & en une Etoile, qui est en la Compagnie des Etoiles, à partir du feu de qui nous avons tous été créés, & vers qui nous retournerons tous ; & en un Père de la Vie, Mystère du Mystère, de Son Nom CHAOS.

Et je crois en une Terre, Gaïa, notre Mère à tous, & en une Vierge dont sont issus tous les hommes & où ils résideront tous, Mystère du Mystère.

Et je crois au Serpent & au Lion Crucifiés, Mystère du Mystère.

Et je crois en une Eglise Universelle, Gnostique & Chaotique de la Lumière, de la Vie, de l’Amour et de la Liberté.

Et je crois en une communion des Saints.

Et, aussi longtemps que la nourriture & la boisson seront transmutées en nous journellement en une substance spirituelle, je crois au Miracle de la Messe.

Et je confesse un Baptême de la Sagesse, par lequel nous accomplissons le Miracle de l’Incarnation.

Et je confesse ma vie une, individuelle & éternelle qui fut & est & qui sera.

AUMN. AUMN. AUMN.

Et par la présente nous réitérons notre obédience en la Constitution de l’Eglise Gnostique ex-« Chaotico-Apostolique » :

Le 13 mai 2004 era vulgaris, le Concile de Marseille réuni de manière régulière & sainte a décidé de la création de l’Eglise Gnostique Chaote. Cette nouvelle branche de l’Arbre des Eglises Gnostiques se veut moderne, libre de toute inféodation à une quelconque structure traditionnelle & novatrice dans son travail gnostique. Après délibération, il est apparu que cette Eglise devait se doter d’une Constitution régulière afin d’énoncer clairement à tous les hommes & à toutes les femmes, Etoiles du Plérôme en exil sur cette terre, les buts de son existence.

Article I – L’Eglise Gnostique Chaote reconnaît l’existence d’une Source unique d’où émanent toute Lumière, toute Vie, toute Liberté & tout Amour. Ces quatre piliers sont le fondement de la Sainte Gnose Eternelle qui est la recherche de la divinité intérieure de tout être humain en dehors de toute structure abrutissante & de toute foi dogmatique létale et mortifère.

L’EGC se refuse à nommer la Divinité Inconnaissable & Inconnue mais reconnaît la validité première du Christ, de l’Esprit Saint & du Nouvel Eon d’Horus. L’EGC ne rejette cependant pas les autres Emanations divines dont nous parlent les Saints docteurs gnostiques & les Mages d’antan & actuels.

Article II – L’Eglise Gnostique Chaote cherche humblement à réunir les fragments de la Connaissance Divine qui se sont transmis au travers des écritures saintes, des rites & rituels & des coutumes de l’univers entier. Tous les fragments de cette Connaissance Divine se valent & aucun ne peut prétendre à la primauté.

Article III – L’Eglise Gnostique Chaote reconnaît l’existence d’un lien unique & éternel entre les Cinq Points de l’Etoile de la Connaissance, et l’EGC reconnaît ainsi comme Livres Saints : l’Ancien & le Nouveau Testament, les Saints Ecrits Apocryphes et Gnostiques, les écrits soufis de Al-Hallaj et Jallal Ed-Din Rûmî, le Liber AL vel Legis (ou Livre de la Loi) & les Saints Ecrits Chaotes de Hine, Bey et Carroll (pour ne citer qu’eux).

Pour ses rites, l’EGC repose sur les antiques rites de l’Eglise Gnostique Apostolique ainsi que sur les nouveaux rites offerts par le Liber XV « Ecclesiae Gnosticae Catholicae Canon Missae » & les divers rituels de la Magick et de la Chaos Magick.

Article IV – L’Eglise Gnostique Chaote n’imposera jamais aucune restriction à la Liberté & au Vouloir de ses fidèles, de ses prêtres & de ses évêques dans leur poursuite de la Vie, de la Lumière, du Plaisir, de l’Amour et de la Liberté, qui sont les Cinq Points de l’Etoile de la Connaissance Intime.

Article V – L’Eglise Gnostique Chaote désire & maintient pour l’éternité que ses sacrements, ses rites & rituels, ainsi que ses ordinations sont ouverts à tous et à toutes sans aucune distinction de sexe, de race, de nationalité, ou d’orientation sexuelle ou religieuse.

Article VI – L’Eglise Gnostique Chaote a élu une Matriarche pour la représenter & la guider dans la Liberté absolue de ses membres. Le titre officiel de la Matriarche est Papesse & l’actuelle Matriarche est la Papesse Eris, élue librement & saintement lors du Concile de Marseille par le Synode des Evêques.

L’EGC sortie du carcan de l’Eglise Gnostique Apostolique rejette tout autre patriarche mitré & toute autorité n’émanant pas expressément d’elle-même ou de sa représentante, la Papesse Eris.

Article VII – L’Eglise Gnostique Chaote désireuse de maintenir l’Unité & l’Amour au sein de l’Eglise Eternelle pourra établir, au travers des évêques du Saint Synode, tout lien avec les autres Eglises non sectaires qui couvrent la surface de cette terre.

Afin de propager sa Sainte Gnose l’EGC émettra un Catéchisme libéral, voire libertaire, afin de guider les pas des cherchants.

Nous avons dit !

Donné ce jour 19 avril 2005 e.v., jour de l’élection de l’anti pape Benoît XVI, en l’Oratoire Gnostique de Libertalia.

Réveil de l’Eglise Gnostique Chaote ! Tau Jean Huss & Tau Simon Pierre II.

SALVE HAGIA SOPHIA

Salut ô Sagesse, Mère de miséricorde, notre vie, notre douceur, notre espérance, salut !

Enfants d’Eve exilés en ce Kénôme inique, nous crions vers Vous.

Vers Vous nous soupirons, gémissant et pleurant, dans cette vallée de larmes.

O Vous, notre Avocate, tournez vers nous Vos regards miséricordieux, et après cet exil, montrez-nous , les Fruits Bénis du Plérôme,

O clémente, ô miséricordieuse, ô très douce Sophia-Achamot.

Priez pour nous, Hagia Sophia

Afin que nous soyons rendus connaissants des promesses de l’Eon-Christ.

Amen.

5 réflexions au sujet de “Réveil de l’Eglise Gnostique Chaote ! Tau Jean Huss”

  1. Franchement, le concept est louable, mais ce gnostiscisme induit trop de concepts monothéistes pour moi, comme imposées. Pas que je les refuse ou les nie du tout, juste que je préfèrerai une organisation se contentant de réunir les chaotes volontaires sans rien leur imposer; un espace pratique de discussion et d’organisation. Malgré tout, le concept est intéressant. Je visiterai régulièrement le site afin d’en voir l’avancement;

    (Excusez les fautes d’orthographe étentuelles, j’ai vraiment écrit à l' »arrache »)

  2. Bonjour, d’accord avec le retour aux sources, mais dans ce cas pourquoi garder le titre d’évêque, en lui accordant une suprématie mensongère, voire usurpée, alors que dans l’église primitive il y a le presbytre, qui est aussi qualifié d’épiscope dans son rôle de gardien, surveillant, gardien des âmes des fidèles par exemple ?
    Le Christ lui-même est qualifié de prêtre, prêtre selon l’Ordre de Melchisedek, grand prêtre même, mais il faut toujours que l’humain s’invente des titres, ou un degré de plus, comme dans les sociétés « initiatiques »……vanitas vanitatum……
    Pour être juste, il me semble que le Christ a largement mérité d’être élevé à la dignité d’évêque, Melchisedek aussi, de même que le prêtre Jean…

    • Bonsoir,

      « pourquoi garder le titre d’évêque ? » – Parce qu’un évêque n’est qu’un gardien et que dans les églises gnostiques sérieuses, les fonctions du prêtre sont déjà remplies par le diacre. L’évêque est un gestionnaire, et il conserve uniquement la transmission. Prêtre gnostique est un terme qui ne signifie rien, il y a les diacres et l’évêque. L’épiscopat étant conféré sans passer par les délires hiérarchiques et vampiriques des « grades » (ou des ordres) cela permet justement de circonvenir la chose.

      « lui accordant une suprématie mensongère, voire usurpée » – justement c’est là notre désir de détruire ce fantasme, et vous avez dû mal lire pour nous en faire le reproche.

  3. Bonjour,
    je ne vous fais pas de reproche, d’autant que je vous suis depuis pas mal de temps, ici ou ailleurs, et que j’apprécie plutôt vos interventions.
    Je suis d’accord, l’évêque n’est qu’un gardien, et dans l’église primitive le diacre avait plutôt la charge des biens matériels de la communauté, toutes ces fonctions ont évolué au fil du temps, c’est cela que je veux dire, il n’y a qu’à voir la multitude d’études sur le sujet. Le sacré en devenant théologie a oublié l’Esprit, aucun diplôme ne peut certifier la vérité de la foi, et c’est sans doute une des raisons de la désertion des églises. Je crois me souvenir que vous avez participé, indirectement, à la « renaissance » de l’EUNA en EGANA, j’ai été ordonné prêtre par des frères dissidents de l’EUNA et je me suis mis à l’écart, fatigué par les controverses et les anathèmes. J’aime assez l’idée du sacerdote errant ou divaguant, prêtre ou évêque……

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